Les moyens équivoques de se procurer de nouvelles ressources, recommandés au pape Léon X par ce financier sans scrupules, la nomination de cet homme corrompu et simoniaque aux plus hautes responsabilités de l’Eglise, vont participer de la crise morale traversée par l’Eglise, ayant abouti à la réforme luthérienne.
Les origines
Francesco Armellino est né en 1470, soit à Fossato di Vico à quelque cinquante kilomètres de Pérouse, soit à Pérouse, du marchand Benvegnate Pantalissi qui a épousé une dame de la famille Armellino d’une riche famille de marchands de Pérouse[i].
Selon Girolamo Garimberto (1506-1575), Evêque de Welsh au Pays de Galles, important courtier et antiquaire, qui a rédigé une histoire des papes et des cardinaux, le père de Francesco est entrepreneur à la porte Salaja à Rome : il s’agit de l’ancienne porte Quirinalis parce qu’on passait par cette porte pour aller au Quirinal, dont le nom a changé en Salaja en l’honneur du trafic de sel qui entrait par cette porte.
Le père de Francesco fait en 1495, une faillite frauduleuse, laissant à ses enfants d’énormes dettes, qui demeureront impayées. A sa mort, les enfants sont adoptés par un oncle maternel, Berengario Armellino, également entrepreneur à la porte Salaja, dont la rapacité sur le prix du sel soulève un tel tollé que le pape Jules II se trouve dans l’obligation d’intervenir, le 1er janvier 1507, auprès du cardinal Alessandro Farnese, administrateur de la région, afin de protéger les intérêts des sujets du Saint-Siège. Il y a certaines traditions dans cette famille, qui vont forger le caractère du jeune Francesco.
Francesco, qui a vingt-cinq ans lors de la mort de son père, a fait des études de droit. Il se signale très tôt auprès de la cour pontificale, pour ses talents d’avocat et d’affairiste. Associé à d’autres affairistes, notamment avec les banquiers florentins résidant à Rome, il spécule sur tout : la vente immobilière, le commerce du bétail pour le marché de Rome, la ferme sur les droits et taxes pour la Chambre apostolique. Il fait rapidement fortune.
Mais il comprend qu’il ne pourra conduire ses spéculations sur une grande échelle, que s’il parvient à entrer dans l’Eglise, qui est à l’époque totalement corrompue et simoniaque. En novembre 1504, il obtient le poste de greffier de la Chambre puis il devient secrétaire apostolique en 1507. En 1513, il fait partie du conclave à la mort de Jules II. Il est partisan de Léon X, dont l’élection va faire sa fortune.
Francesco Armellino Medici
Car, ce dernier, a décidé, avant d’être élu, de l’adopter dans la famille des Médicis. Armellino est autorisé à porter dorénavant, le nom de Medici, accolé au sien. Quel service particulier le redoutable affairiste a-t-il rendu à son maître ? Quel lourd secret cache cette procédure particulière ? En tout cas, Armellino est désormais un Médicis à part entière, lorsque Léon X devient pape et il va être immédiatement favorisé comme le seront tous les membres des Médicis.
Comme la plupart des papes, Léon X est très dépensier. Les dons exceptionnels d’Armellino pour la finance, vont le propulser au poste de conseiller le plus écouté de Léon X. Il devient l’homme indispensable : ses expédients pour trouver sans cesse de nouvelles ressources, subjuguent le pape.
Son impopularité à l’égard de la population de Rome, soumise à une pression fiscale de plus en plus imaginative et écrasante, croît à proportion de son ascension auprès du Saint-Père. Il trouve des taxes nouvelles dans tous les domaines : sur l’abattage du bétail, sur l’importation de céréales, sur le sel, sur les droits d’entrée des Etrangers, sur les ateliers artisanaux, sur les vins, etc… D’autant qu’il s’arrange pour affermer lui-même ces nouvelles ressources, réalisant un profit personnel considérable.
En novembre 1516, alors qu’il vient tout juste d’être nommé protonotaire apostolique, il est contraint par une sédition populaire, de renoncer à son nouveau projet de gabelle sur le sel, qui aurait pu rapporter vingt-cinq mille ducats.
Une ascension irrésistible
Le pape, qui est engagé dans la guerre avec le duc d’Urbin, Francesco-Maria della Rovere, pour récupérer le duché d’Urbin, qu’il a donné à son neveu, Laurent de Médicis, a besoin de ressources pour entretenir son armée. Il se trouve que le pape a l’intention de nommer une nouvelle fournée de cardinaux. Armellino lui propose alors de vendre des chapeaux, à de riches bénéficiaires, comme on vend déjà des offices, à l’image de la France de François 1er, qui vient de signer le concordat de Bologne. L’idée est d’autant plus opportune pour l’impétrant qu’il s’est lui-même positionné, en offrant quarante mille ducats au pape. Le 1er juillet 1517 il est nommé cardinal de Saint-Calixte.
Mais la consécration de sa carrière va intervenir lorsqu’il va s’emparer des finances pontificales. Au Vatican, c’est le camerlingue qui est chargé de la gestion des finances pontificales. En 1517, son titulaire est le cardinal Rafaello Riario, un des neveux de Sixte IV (della Rovere), qui a été compromis dans le complot contre Léon X animé par le cardinal Alphonse Petrucci de la famille des seigneurs de Sienne. Ce dernier est l’un des plus chauds partisans lors de l’élection de Léon X mais il a été déçu dans ses ambitions[ii] (le pape ne lui a pas accordé le gouvernement de Sienne) et il projette maintenant, ouvertement, de faire assassiner le pape. Petrucci est arrêté et passé à la question : il avoue la conspiration et dénonce tous ses complices. Il devait faire empoisonner le pape et le faire remplacer par le vieux cardinal Riario.

La messe de Bolsena Raphael Chambre d’Héliodore Le pape Jules II à genoux. Derrière lui le cardinal Riario Image Wikipedia
Ce dernier est-il entré activement dans la conspiration ? Il est certain que, tout jeune encore, il a participé à la conspiration des Pazzi, qui devait assassiner le père du pape, Laurent le Magnifique : Léon X ne l’a pas oublié. De plus, le cardinal Riario a beaucoup de ressentiment contre Léon X que les cardinaux lui ont préféré lors de l’élection. Le pape a donc de sérieux motifs de soupçons. Mais le cardinal Riario est protégé par sa dignité cardinalice et par ses très hautes fonctions au Vatican. Le pape décide alors de le suspendre de ses fonctions de camerlingue, tout en lui conservant son titre.
C’est donc un poste déjà attribué mais sans titulaire, que convoite l’intriguant cardinal de Saint-Calixte. Le 24 juillet 1517, soit trois semaines à peine après sa nomination, le cardinal Armellino verse au pape une caution de douze mille ducats pour être substitué, avec pleins pouvoirs, au cardinal Riario, dans sa fonction de camerlingue. Il s’agit du tout premier poste du Vatican, généralement dévolu à un homme de confiance.
Mais le cardinal Armellino ne semble pas avoir été désigné pour le poste : il paraît n’en assurer que l’intérim. Qu’importe ! Il en a reçu tous les pouvoirs. Il a promis au pape d’appliquer aux ressources de la Curie, les mêmes méthodes que celles qu’il a appliquées avec succès à la population de Rome. Il va s’appliquer à prélever de nouvelles taxes, à récupérer sans pitié ni scrupule des ressources auprès de tous, commis ou dignitaires de l’Eglise, avec d’autant plus d’acharnement qu’il en récupère une partie au passage pour l’élargissement de sa fortune personnelle.
Il participe à cet égard à la vente des indulgences pour financer le chantier de construction de la basilique Saint-Pierre. Il n’est pas l’auteur de cette politique, mais il en encourage le développement, ce qui aura une conséquence directe, moins de deux ans plus tard, avec la contestation de Luther, qui porte en particulier sur la vente des indulgences. Car, c’est le cardinal Armellino qui a négocié avec les envoyés de Albert de Brandebourg la concession de la vente des indulgences dans les territoires de Mayence, Magdebourg et Halberstadt, à l’origine de la contestation de Luther.
Albert de Brandebourg, qui va devenir cardinal en 1518, a promis aux Mayençais, excédés car ils ont dû payer à trois reprises en dix ans, le droit de pallium au pape, par suite de la nomination de trois archevêques successifs, tente d’emprunter la somme de vingt quatre mille florins (il en possède six mille), auprès de Fugger, le banquier qui apportera quelques années plus tard cinq cent quarante-trois mille florins d’or a l’empereur, pour financer son élection. Ce dernier exige des garanties. Le prince n’en a pas. On discute et le pape, par l’intermédiaire d’Armellino, finit par proposer d’autoriser l’évêque à vendre des indulgences pour rembourser son banquier. Tant que son prêt de vingt-quatre mille florins ne sera pas remboursé, le pape percevra la moitié de la vente des indulgences, officiellement, pour financer la construction de la basilique de Saint-Pierre.
C’est Armellino qui négocie également avec la république de Venise, la concession de la vente des indulgences dans l’île de Chypre.
Il est difficile d’évaluer l’étendue du bénéfice personnel que retire le cardinal Armellino de son poste de camerlingue. Une grande partie de ses avoirs est déjà investie dans des tavernes (les romains sont de grands consommateurs de vins) et dans les auberges (grandes consommatrices de viandes) en contravention avec les règles, qui datent du pape Innocent VIII (Cybo) en 1488, qui éliminent le clergé des activités économiques. Il sait apparemment comment soustraire les activités qui servent ses intérêts au paiement des droits et taxes écrasant la population de Rome.
L’exploitation des mines d’alun de Tolfa
Le fastueux banquier Chigi (le bâtisseur de la Farnesina, décorée par Raphael), qui a construit l’une des plus grandes fortunes d’Europe, a bâti intégralement son succès sur l’exploitation des mines d’alun de la Tolfa. L’alun est un fixateur des couleurs, utilisé par l’industrie lainière de la draperie qui a fait notamment la fortune de Florence (voir à ce sujet l’article de ce Blog sur l’alun du pape et sur l’exploitation de Chio et Phocée par les Génois).
Ces mines de la Tolfa, exploitées depuis leur découverte, en 1460, par les Médicis qui en ont reçu la concession, vont connaître leur plus grande extension avec le banquier Chigi[iii] qui a remplacé les Médicis en 1501. Plus de huit cents hommes travaillent dans les mines de la Tolfa, qui sont alors les premières d’Europe. La quasi-totalité du minerai est évacuée par le port de Civitavecchia vers l’Italie et surtout, les villes drapières d’Europe du nord.
Selon le site Treccani, le cardinal Armellino, associé au cardinal Antonio Pucci, crée pour la reprise de la concession Chigi, une société par actions, au capital énorme de quatre cents mille ducats, « l’Uffici dei Cavalieri di San Pietro », pour l’exploitation des mines de la Tolfa. Les deux cardinaux ont pour associés principaux, des financiers allemands dont Hieronimus Raimund Fuggers, plusieurs membres de la famille Rehlinger d’Augsburg, Conrad, David et Hieronimus, le flamand Gerardus de Dorren, et divers banquiers et hommes d’affaires italiens, y compris Agostino Chigi, qui a obtenu le contrat de travaux miniers de sous-traitance.
Un homme indispensable pour le pape Léon X
C’est sur l’homme de confiance du pape Léon X que revient la charge de mater la révolte de la ville de Fabriano, dans la marche d’Ancône, sous contrôle depuis le XIIIème siècle de l’Etat pontifical. La ville s’est soulevée contre les taxes insupportables du pontife, initiées par son camerlingue. Ce n’est peut-être pas sans malice que le pape expédie ainsi l’incendiaire pour éteindre le feu. Toujours est-il qu’une répression impitoyable mais calculée s’abat sur Fabriano : en moins d’un mois, la sédition est matée.
Il pousse le pape aux actions les plus énergiques contre les seigneurs qui se sont constitués des fiefs au sein des Etats pontificaux. Il est à l’origine de l’arrestation de Gian Paolo Baglioni, en 1520, en conflit permanent avec la Papauté depuis que cette dernière a chassé les Baglioni de Pérouse, qui, aussitôt arrivé à Rome, y est décapité.
Il pousse le pontife à des adoubements quelquefois payants, de chevaliers, qui concernent près de cent cinquante nominations sous le pontificat de Léon X. Il propose au pape de faire payer quarante mille ducats pour chacun des huit nouveaux cardinaux que Léon X se propose de désigner. Mais cette fois-ci, le scandale des nominations de 1517, qui n’est toujours pas éteint, fait reculer le pape qui n’ose pas suivre son conseiller.
Le pape, qui un besoin toujours plus important de ressources, n’hésite plus à taxer ses plus proches collaborateurs, qui se trouvent dans l’obligation de prêter des sommes importantes au pontife. Le cardinal Armellino est, bien évidemment, du nombre : juste retour des choses, pour celui qui a rançonné les ressources de l’Eglise pendant plus de huit ans.
La mort subite de Léon X en 1522, laisse le cardinal Armellino, comme les autres membres de la famille Médicis, au bord de la faillite. Mais le long conclave qui suit, l’exploitation sous son contrôle exclusif des ressources du pape et la confiance dont il jouit de la part des milieux financiers qui ne lui suppriment pas son crédit, lui permet de rétablir sa situation financière personnelle.
Pendant le court pontificat de deux ans, d’Adrien d’Utrecht, Adrien VI, il devient l’un des plus éminents représentants des Médicis. Il est expédié à Florence à l’appel du cardinal Jules de Médicis, le cousin de Léon X, pour y recruter des milices, aux frais de la Chambre apostolique. Il s’oppose alors au cardinal Francesco Soderini qui l’accuse d’exploiter la situation à son profit et d’avoir recommandé au pape de le spolier de sa fortune. La protection du cardinal Jules de Médicis lui permet cependant d’écarter le danger.
Une anecdote vraie ou inventée, mais qui révèle l’état de détestation unanime du cardinal Armellino, est placée dans la bouche du cardinal Pompeo Colonna : « on dit que , dans un consistoire où l’on parlait de trouver un fonds pour fournir aux nécessités du Saint-Siége, le cardinal Pompeo Colonne dit hardiment, qu’il ne faudrait qu’écorcher Armellino et exiger un quatrain de tous ceux qui seraient bien aises de voir sa peau; que l’argent qu’on en tirerait, serait une somme assez considérable pour fournir à toutes les dépenses nécessaires »[iv].
Le favori de Clément VII
Lors du conclave qui suit, il est l’un des principaux cardinaux de la Curie, à favoriser l’élection de Clément VII. Ce dernier, aussitôt élu, le remercie en le nommant à la Chancellerie Apostolique, au poste de vice-chancelier, en 1524 et Archevêque de Tarente le 15 décembre 1525.
A partir de l’élection de Clément VII, le cardinal Armellino va devenir le principal spéculateur immobilier de Rome. A cette époque, sa fortune a atteint la somme vertigineuse de deux cent mille ducats, constituée pour l’essentiel de terrains et immeubles.
Il s’est fait bâtir dans le Borgo, un palais somptueux en 1511. Il y a accumulé depuis plus de quinze ans la plus grosse collection privée de statues antiques de Rome, avec celle du cardinal Grimani. Cette résidence a été acquise plus tard par le cardinal Bartolomeo Cesi, fondateur de la fortune familiale des Cesi et oncle de Frédéric Cesi, qui a fondé « l’Accademia dei Lincei », la plus ancienne académie scientifique du monde, hébergée au palais Armellino-Cesi à partir de 1603.
Le cardinal Armellino y mène là un train de vie fastueux avec plus de cent trente serviteurs. Il est bien entendu devenu l’une des cibles préférées de Pasquino : il s’agit d’une statue hellénistique « parlante » du IIIème siècle avant JC, sur laquelle les libellistes anonymes avaient pris l’habitude d’apposer des satires, dénonçant les injustices qu’ils subissaient, les exactions diverses du clergé, etc… C’est sans doute cette statue du Pasquino qui donnera à Pierre l’Aretin (voir sur ce Blog l’article sur Pierre l’Arétin, l’homme qui rançonnait les rois), l’idée de son système reposant sur la distribution de feuilles imprimées criées aux carrefours par des vendeurs à la sauvette. On imagine bien que la politique de taxation à outrance du cardinal Armellino a fait de ce dernier une victime récurrente et toute désignée des « pasquinades » cet ancêtre des « mazarinades ».
Le ressentiment de la population de Rome contre la politique de taxation des pontifes, promue dix ans plus tôt par le cardinal Armellino, va se faire ressentir lors de la révolte populaire organisée par les Colonna, le 22 août 1526 : la population de Rome va accueillir les trois mille hommes réunis par les Colonna, commandés par Hugo de Moncade, qui pénètrent dans Rome, quasiment comme des libérateurs (voir à ce propos sur ce Blog l’article sur le Sac de Rome).
Le cardinal Armellino sera-t-il, comme le déclare le site Treccani, à l’origine de toutes les mauvaises décisions de Clément VII, qui auront pour effet de licencier prématurément les soldats qui auraient pu participer à la défense de la ville ? Il est permis d’en douter car s’il est resté un conseiller écouté du pape, il n’exerce plus la fonction de camerlingue et il n’a donc plus la main sur les finances pontificales.
Toujours est-il que, lors du sac de Rome, du 6 mai 1527, son palais, désigné à la vindicte des soldats impériaux comme l’une des toutes premières cibles, par les Romains, va être pillé de fond en comble. Dans leur fureur de ne pas trouver les tonneaux d’or qu’ils espéraient, ils vont jeter par les fenêtres ou bien briser au marteau, la collection extraordinaire de statues anciennes du cardinal.
Ce dernier ne peut qu’observer le désastre du haut du château Saint-Ange où il a pris refuge avec le pape, lors de l’entrée dans Rome de l’armée impériale.
Après le départ des troupes impériales, début 1528, il peut enfin retrouver son palais. Il va, dit-on, mourir de chagrin, en découvrant l’horreur de ses collections détruites. Il n’aurait pas laissé de testament, malgré l’existence de frères et soeurs.
Clément VII, en sa qualité de pape, va donc, fort opportunément, hériter de toute sa fortune, estimée à deux cents mille ducats, ce qui va lui permettre de payer sa rançon.
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[i] La matière de cet article provient d’un article sur Francesco Armellino de l’encyclopédie italienne Treccani. Les informations communiquées dans cet article, rédigé à partir de celui de l’encyclopédie Treccani ne sont donc vraies que sous réserve de la vérité des informations fournies par Treccani et de la correction de ma traduction.
[ii] Sur cette question, voir les détails de la conspiration dans l’histoire de Léon X par Jean Marie Audin pages 237 et suivantes.
[iii] Voir sur ce sujet, l’article de Yves-Marie Berce, compte rendu du livre de Jean DELUMEAU. L’alun de Rome, XVe-XIXe siècles. Paris, S.E.V.P.E.N. 1962. (Ecole pratique des Hautes- Etudes, VIe section, Centre de recherches historiques. « Ports-routes-trafics », XIII.) Bibliothèque de l’école des Chartes Année 1964 Volume 122 Numéro 1 pp. 349-352 Site PERSEE et celui de Jean Favier « Une ferme pendant trois siècles : l’alun de Rome » sur le même livre de Jean Delumeau paru sur le même site PERSEE Journal des savants Année 1965 Volume 3 Numéro 1 pp. 590-597,
[iv] Histoire ecclésiastique de l’abbé Fleury Tome 18 (de 1523 à 1536) Nîmes Pierre Beaume 1779 Livre Google Books.
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